RTNC : Freddy MULUMBA dans le collimateur du réseau d’espionnage rwandais révélé par Honoré NGBANDA ? (Lu pour vous) 

NB/ VOIR aussi ci-dessous les révélations faites par Mr Honoré Ngbanda en Janvier 2021 (PARTIE I & II / Texte & VIDEOS)

Lu pour vous :

FREDDY MULUMBA ET LE CONGO,
VICTIMES DE LA PIEUVRE DE KAGAME

La pieuvre, une bête aquatique au vin dangereusement mortel et aux bras multiples qui évolue sous l’eau, loin des regards des humains.

La Pieuvre de Kagame, ainsi a été surnommé le vaste et puissant réseau d’espionnage, de contrôle et pillage jamais déployé par James Kabarebe sur instructions de Paul Kagame, en République Démocratique du Congo.

Au cœur de ce réseau se trouve James Ndambo, un sujet Zambien très actif entre Johannesburg et Kinshasa, et qui a fait fortune dans l’aviation mais surtout dans le trafic de l’or avec la Biélorussie.

Arrivé au cœur de ce réseau par la faveur de James Kabarebe, M. James Ndambo est propriétaire de Africa Union Holdings Ltd basé en Afrique du Sud, un holding comprenant des compagnies subsidiaires dont Africa Union Financial Services (AUFS), Africa Union Commodity House (AUC), Africa Union Commodity Exchange (AUCE), Africa Union Broadband Services (AUBS), etc…

C’est l’intervention personnelle de Paul Kagame auprès de Joseph Kabila qui a permis à James Ndambo avec ses compagnies de pénétrer le marché congolais en 2018.

Le 26 mai 2018, AUFS va signer un Contrat BOT (Construire, Exploiter et Transférer) avec le Réseau de Télécommunications Satellites pour la réhabilitation du réseau Rénatelsat.

M. Emery Okundji se félicitera d’ailleurs de cet accord sans se douter un seul instant de l’agenda caché derrière cette scène.

Le 14 avril 2020, Paul Kagame instruit Déo Rugwiza, alors Directeur de la DGDA, anciennement OFIDA, d’accorder à AUFS le marché de la surveillance des frontières de l’Est de la RDC et d’une partie du Congo-central.

Avec la bénédiction de Rugwiza, M. James Ndambo installe ses bureaux au sein même du bâtiment officiel de la douane congolaise, l’immeuble qui abrite la DGDA.

Ses autres bureaux sont éparpillés à travers la Capitale Kinshasa pour servir non seulement de lieux de gestion de son vaste réseau des personnes ressources qui comprenant notamment des garçons de chambre des différents hôtels de la place, des serveuses, des prostituées, des associations estudiantines, des représentants de syndicats, des personnalités politiques, militaires et religieuses, mais ses bureaux, disions-nous, servent surtout de lieux de rencontre entre les membres du Tutsi-Power ainsi que de réception de ses invités étrangers.

Avec une savante mise en scène d’une spectaculaire saisie des matériels militaires « frauduleux » à la douane de Matadi, M. Yan Fumuatu, conseiller et ami personnel du Président Congolais, sera chargé par James Kabarebe d’obtenir directement de Félix Tshisekedi que les missions de AUFS s’étendent dorénavant à toutes les 9 frontières de la RDC.

M. James Ndambo, bénéficiant de l’assistance de son bras droit, Théophile Badoana, ainsi que du soutien de son allié Freddy Lokaso, conseiller de Félix Tshisekedi, jouit spécialement du statut de grand partenaire de la RDC.

Comme cela ne suffisait pas, James Ndambo, sur instructions de Paul Kagame, souhaite désormais mettre la main sur la toute puissante chaine nationale, la RTNC.

Le 9 septembre 2021, dans les locaux du Ministère de la communication et médias, un certain sujet « Kényan », sous une identité d’emprunt, « Stanly Ndetah », aka Stanley Ndeta Ndetah, aka Ndeh Stanley – qui du reste n’a aucun compte social sérieux – va se présenter en qualité de CEO, Chef Executif Officer de Africa Union Broadband Services, AUBS, une société subsidiaire de Africa Union Financial Services, AUFS, afin de proposer au Ministre Patrick Muyaya l’ouverture des négociations qui aboutiront à un partenariat pour, dit-il, accompagner son ministère dans la réforme de la RTNC.

Ce partenariat avec AUBS consistera à moderniser la RTNC sur 4 volets :

1. Volet infrastructure avec la réhabilitation et la construction des bâtiments qui abriteront les bureaux de la RTNC à l’Est du Congo ;

2. Volet technique qui concerne les matériels de diffusion, de production et de transmission ;

3. Volet programme avec des émissions qui viseront le changement de narratif à Kinshasa et dans les villes de l’Est du Congo en proie à des guerres ;

4. Volet ressources humaines.

Protestant contre cet accord jugé léonin et qui, vraisemblablement, va mettre en mal la souveraineté nationale, le DG ai de la RTNC, M. Freddy Mulumba, a été sans préavis, mardi 14 décembre 2021, démit de ses fonctions par son Ministre de tutelle, M. Patrick Muyaya qui a certainement reçu des instructions en faveur de ce nouveau deal.

Malgré les démentis de la honte de la SCPT, nous savons déjà que le Rwanda contrôle les communications numériques de la RDC, particulièrement dans sa partie Est, à partir des serveurs de la société rwandaise Axiom Network basée à Kigali.

Mais avec cette Pieuvre, Paul Kagame se rassure sur beaucoup des choses :

– La pénétration du domaine hautement stratégique de la communication et de la connectivité des institutions étatiques, l’armée, la police, les services auxiliaires, les privés et les citoyens ;

– Le contrôle des frontières de la RDC ;

– L’infiltration au Congo des unités armées, voire des mercenaires étiquetés terroristes, ainsi que des épuisements militaires ;

– Le pillage des minerais spéciaux ;

– La mise en œuvre du projet du grand remplacement et de la balkanisation du Congo.

Face à ce danger manifeste contre le Congo, nous proposons aux institutions de la République, le Sénat, le Ministère de la Justice, la DEMIAP et le Service du Contre-espionnage de l’ANR de diligenter, chacun en ce qui le concerne, des enquêtes sérieuses concernant le Réseau Pieuvre aux fins de le démanteler, de traduire ses membres en justice et d’expulser les autres.

(Lu pour vous / Source :anonyme )

Enquête sur un puissant réseau international d’espionnage et de prédation en RD Congo !

Un réseau rwandais contrôle les institutions, les Services spéciaux, et “surveille” toutes les frontières de la RDC ! 

Par Honoré Ngbanda-Nzambo Ko Atumba  

 Président national de l’APARECO  

Paris, le 14 Janvier 2021

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INTRODUCTION

Mes Chers compatriotes congolais,

D’aucuns parmi vous ont constaté que contrairement à mes habitudes, je n’ai adressé aucun message au peuple congolais à l’occasion des fêtes de fin d’année 2020 et du début d’année 2021.

La raison en est simple : mon cœur n’y était pas, car j’étais occupé à boucler une enquête que je mène depuis quelques semaines, et dont les résultats sont extrêmement troublants et douloureux. Vous comprendrez bientôt pourquoi.

Vous vous rappellerez que le 12 février 2015, je vous avais présenté dans un résumé de 30 pages, les résultats de mes enquêtes sur le fonctionnement du réseau d’infiltration et du système d’occupation de la République Démocratique du Congo par le Rwanda. Aujourd’hui, 7 ans après, je vous présente le résumé condensé des premiers résultats d’une nouvelle enquête que je suis en train de mener au sujet d’un vaste et puisant réseau international dont les ramifications s’étendent sur les domaines stratégiques de souveraineté de notre pays ! 

 Ce faisant, j’espère que les faits accablants que je m’en vais vous exposer ici ne manqueront pas d’éclairer vos lanternes sur la justesse du combat que je mène avec les autres patriotes résistants. Car nous sommes persuadés que la RDC ne dispose pas d’institutions souveraines et fortes pour stopper le processus d’occupation, de prédation et d’annexion de la partie Est de notre pays au Rwanda. Et dans ces conditions, il est superfétatoire de prétendre instaurer un semblant de démocratie, au moment où toutes nos institutions politiques et judiciaires, notre Armée, notre Police, nos Services de sécurité et de renseignement sont tous contrôlés par les occupants rwandais et leurs complices dans le monde!     

I. De la description du réseau «La Pieuvre»

Mes chers compatriotes,

L’image contient peut-être : une personne ou plus et costume

Depuis quelques temps, avec l’aide de certains patriotes congolais qui évoluent au sein du système d’occupation en RDC, nous enquêtons sur le fonctionnement d’un puissant réseau international d’espionnage et de pillage qui fonctionne avec la complicité avérée des officiels congolais au sein ou à la tête des différentes institutions.

Ce réseau que je vais vous présenter aujourd’hui, nous l’avons baptisé «La pieuvre»,car il est particulièrement redoutable et nuisible à cause de ses ramifications, de sa puissance financière et de sa capacité de pénétration des institutions de la RDC. Ce réseau est international à cause de l’identité et de la qualité de ses agents. Ils sont tous étrangersmais avec cette particularité qu’ils ne sont ni rwandais ni congolais ! (Du moins officiellement) Mais au finish, ce réseau est géré au sommet par un général de l’armée rwandaise, rompu dans le domaine du renseignement, James Kabarebe pour ne pas le citer. Il dirige ce réseau sous les ordres de Paul Kagamé en personne !

Cette stratégie qui consiste à constituer un réseau de pénétration animé essentiellement par les agents qui ne sont ni rwandais ni congolaiscette stratégie-là vise particulièrement à déjouer la vigilance et la curiosité des congolais dont l’attention est généralement   focalisée sur les hégémonistes du Tutsi-power qui occupent la RDC.

Ce réseau, «La Pieuvre», est tellement puissant que nos compatriotes qui nous ont aidés à partir de l’intérieur du système à le démasquer, nous ont plutôt conseillés de ne pas nous attaquer à cette hydre  par peur pour notre sécurité! Mais le pays vaut plus que nos vies !   

Ainsi, avant de vous exposer la structure même de ce réseau et de vous définir les missions et les objectifs qui lui sont assignés, je voudrais d’abord vous présenter les principaux agents et animateurs de ce puissant et vaste réseau rwandais:   

II. Du profil des principaux agents et animateurs du réseau rwandais, “La Pieuvre

  1. A la tête de ce puissant et vaste réseau se trouve Monsieur James NDAMBO :

En effet, AUFS comme société de couverture, garantit à son propriétaire, James NDAMBO, la discrétion dont il a besoin pour certains de ses contacts et mouvements, comme nous allons le voir bientôt dans le fonctionnement proprement dit du réseau.

  • C’est lui qui sert d’intermédiaire et de courroie de transmission entre Kigali et des nombreuses personnalités congolaises civiles et militaires;
  • C’est lui qui gère et rémunère plusieurs personnalités congolaises civiles, militaires et religieuses ; il accorde des libéralités à certains ministres et PDG des entreprises, voire même à certains hauts responsables des Services spéciaux de la République !

Ces libéralités varient des «frais de missions» aux frais de transport, en passant par les « compléments de salaires» et les «cadeaux»… Durant la période de confinement en 2020, James NDAMBO est allé jusqu’à louer des jets pour assurer le déplacement de certains membres du gouvernement !   

  • Mais pour couvrir un aussi vaste réseau, Mr. James NDAMBO ne travaille pas seul, il s’appuie principalement sur 2 collaborateurs, tous des étrangers. Mais Ils ne sont pas des rwandais. Du moins officiellement : 
  1. Son premier collaborateur est Théophile BADOANA :
L’image contient peut-être : 1 personne

Il fait ainsi allusion aux députés, aux ministres, aux généraux, aux responsables des services spéciaux et aux PDG des grandes entreprises comme l’Ogefrem, la DGDA, la DGRAD, la SNEL…etc.Et si Théophile  BADOANA le déclare haut et fort, c’est bien parce qu’il invite souvent ces différentes  personnalités congolaises au restaurant, il leur paie des voyages à l’étranger et leur donne des frais de mission «supplémentaires» et tout cela, en récompense des «services rendus» ! Bien plus, durant la période du confinement en 2020, il a affrété plusieurs fois, sur instructions de James NDAMBO, les jets pour faciliter le déplacement de certaines personnalités congolaises ! Le dernier cas fut celui d’un vice-premier ministre pour son déplacement en Afrique du Sud ! 

L’image contient peut-être : 1 personne, texte qui dit ’S.E. Friday M NYAMBE’
L’image contient peut-être : 1 personne, texte qui dit ’Aimé MONGO’
  • Théophile BADOANA a réussi à déployer ses tentacules partout jusqu’au sein des services spéciaux congolais et même au sein du cabinet du président de la république !
  • Il manipule en outre un très vaste réseau composé de maîtres d’hôtels, de chefs cuisiniers et de jeunes filles et garçons des grands hôtels de la capitale souvent fréquentés par les personnalités congolaises. «La Pieuvre» déploie aussi ses tentacules sur les jeunes filles congolaises qui évoluent dans les associations estudiantines, ainsi que sur celles qui travaillent au sein des grandes entreprises et au sein du Cabinet du président de la république! Nous avons la liste !
  • Mais, pour ne pas compromettre la poursuite de nos enquêtes et pour ne pas hypothéquer certaines actions que nous planifions pour contrer ce vaste réseau, nous avons décidé de ne pas diffuser la très longue liste des noms des jeunes filles congolaises et des garçons qui figurent dans le répertoire de Théophile BADOANA, et qu’il utilise pour le compte  du réseau rwandais, «La Pieuvre».

Cependant, en publiant les résultats de cette enquête, nous espérons que toutes ces filles et tous ces garçons instrumentalisés consciemment ou inconsciemment  par Théophile BADOANA se reconnaîtront eux-mêmes ! 

  • Pour le bon fonctionnement de ce vaste réseau, James NDAMBO accorde à son bras droit, Théophile BADOANA, une confiance aveugle. A tel point que, pour lui permettre de remplir valablement sa fonction d’intendant et couvrir tous les frais des dépenses inhérentes à la gestion des nombreuses branches du réseau décrites ci-dessus, James NDAMBO a remis Théophile BADOANA une carte bancaire avec autorisation permanente et illimitée! Mais je dois préciser tout de suite qu’en fin de compte, cet argent ainsi dépensé gracieusement par le réseau provient du trésor public congolais. C’est bien l’argent du peuple congolais qui fait fonctionner ce réseau rwandais comme nous allons vous le décrire! 
  1. Le 2e collaborateur de James NDAMBO est E. Friday M. NYAMBE, ambassadeur de la Zambie à Kinshasa! 
  • Il est le cousin propre de l’actuel président de la Zambie!
  • Il est donc citoyen zambien comme James NDAMBO, et il mesure environ 1,90m.
  • Certains éléments de notre enquête laissent supposer qu’il aurait des origines tutsies! (Nous sommes en train de creuser cette piste)
  • Mais chose curieuse, cet ambassadeur zambien parle parfaitement lingala alors qu’il n’a jamais séjourné en RDC avant. Mais il prétend que c’est son cuisinier qui le lui aurait appris alors qu’il était encore en Zambie !
  • Il est très proche de James NDAMBO qui lui fait totale confiance. Il travaille donc à la fois pour son pays la Zambie et pour le Rwanda au sein du réseau dirigé directement par Kagamé et Kabarebe ! (C’est entre autres éléments qui appuient l’hypothèse de ses origines tutsies cachées)
  • Sa double qualité d’ambassadeur et de citoyen zambien lui offre l’avantage d’opérer facilement dans la ville de Kinshasa. Et bénéficiant en plus de la pratique de la langue lingala qu’il maîtrise parfaitementFriday M. NYAMBE opère beaucoup plus en profondeur dans les zones populaires de Kinshasa, parce qu’il passe inaperçu auprès des populations congolaises! Ainsi, nos enquêteurs ont constaté qu’il pénètre souvent tout seul, en tenue débraillée, à bord de sa voiture banalisée, sans aucune protection, au fond des quartiers les plus populaires et les plus mal famés de Kinshasa!Que va-t-il chercher dans ces zones reculées? Quel message donne-t-il directement aux populations congolaises qui ignorent certainement sa véritable identité ?
  • Et pourtant, ce double agent zambien et rwandais opère à ciel ouvert et en plein cœur de la capitale sans être inquiété par les Services du Contre-espionnage de l’ANR dont certains hauts responsables sont malheureusement arrosés par James NDAMBO!  

III. De la «couverture» et des missions du réseau rwandais en RD Congo

Chaque réseau d’espionnage, d’infiltration ou de sabotage au monde pour mieux fonctionner et être efficace, doit se doter d’une bonne couverture qui doit être adaptées aux objectifs des missions qui lui sont conférées.

C’est le cas du réseau rwandais « La Pieuvre » dont l’objectif est de contrôler nos frontières pour faciliter les entrées des troupes rwandaises, le trafic d’armes et d’équipements militaires, afin de renforcer le processus d’occupation

Ce réseau rwandais a aussi pour objectif de faciliter le pillage des minerais spéciaux de la RDC comme le Coltan, l’or et le diamant que le Rwanda exploite par fraude à l’Est de la RD Congo.

Le choix par les autorités rwandaises des sociétés Africa Union Financial Services  et Africa Union  Holdings  de James NDAMBO pour couvrir leur réseau rwandais en RDC, ce choix répond donc parfaitement à tous les objectifs précités. Au-delà de l’aspect purement technique très apparemment favorable à la RDC, la mission secrète de ces entreprises compromettent dangereusement la souveraineté de la République. Et c’est aux services congolais que devaient revenir la responsabilité d’enquêter en amont, c.à.d. avant de signer des accords ! Voilà pourquoi j’ai estimé que les résultats de cette enquête devraient être portés à la connaissance du peuple congolais (Souverain primaire)  et de la communauté internationale qui applique souvent la politique de l’autruche en RDC quand il s’agit de localiser l’origine réelle de l’insécurité endémique qui s’y est installée depuis plus de 20 ans.

  1. Le Rwanda impose la présence de la Société AUFS et AUD de James NDAMBO au sein des bâtiments officiels de la douane congolaise avec mission de «surveiller» la frontière Est de la RDC !
  • Dès le départ, sous le mandat de l’ancien Directeur général de la DGDA (ex-OFIDA), monsieur Déo RUGWIZA, d’origine tutsi-rwandaise et décédé le 14 avril 2020, Paul Kagamé l’avait instruit pour qu’il accorde à la Société AUFS de James NDAMBO le marché de surveillance de la frontière Est de la RDC par l’OFIDA ! Ce qui fut fait. Et Déo Rugwiza installa même officiellement les bureaux de cette société privée et étrangère au sein même des bâtiments officiels de l’OFIDA à Kinshasa, comme nous l’avons dit plus haut.

Ce qui revient à dire que le Rwanda qui occupe la RDC et qui pille ses richesses minières à l’Est de la République s’attribue, lui-même, le rôle de surveiller sa frontière avec la RDC pour veiller à la régularité des sorties et des entrées de toutes les marchandises ! Une pure aberration ! Autant  confier aux voleurs le rôle de sentinelle pour surveiller la ville où ils volent chaque nuit !

  • Et après, les congolais s’étonnent et la communauté internationale fait semblant de s’inquiéter du fait que le pillage du minerais de la RDC se poursuit impunément, et que des armes et des munitions continuent d’entrer dans cet espace enclavé de la RDC durant plus de deux décennies, pour alimenter les forces dites négatives ! Allons plus loin !
  1. La Société AUFS obtient un rabattement frauduleux sur son redressement fiscal de 113 millions de dollars américains
  • Au courant de l’année 2020, la Société AUFS de James NDAMBO a subi un redressement fiscal de 113 millions de dollars américains de la part de la Direction générale des recettes administratives, judiciaires et domaniales, et de participation (DGRAD).
  • Au lieu de payer les 113 millions au trésor public, monsieur James NDAMBO a plutôt fait appel à un membre de son réseau : il s’agit de monsieur Aimé MONGO. Ce dernier a recouru à son tour à son ami Jean-Paul EKOMBOLO qui l’a introduit directement auprès de Jean MOPOTU, Directeur général de la DGRAD
  • Après les «arrangements» avec James NDAMBO, le DG MOPOTU concéda de rabattre le redressement de 113 millions de dollars à 13 millions de dollars seulementLe trésor public a perdu ainsi 100 millions de dollars! 
  • Et en guise de… «commission» (Félix Tshisekedi dirait «Cop») pour les services rendus, Jean MOPOTU a remis à Aimé MONGO 1 million de dollars américains.Malheureusement, ce butin a été mal partagé : Aimé MONGO ayant gardé pour lui tout seul 800.000$, il n’a remis que 200.000$ à Jean-Paul EKOMBOLO.

Et ce fut, fort heureusement pour nous, le début de la brouille entre les deux amis. Car c’est de cette brouille qu’est partie la fuite d’information qui nous a poussés à déclencher la présente enquête !

  • Et dans ce climat délétère, James NDAMBO qui n’a pas souvent sa langue dans sa poche en privé, déclara que Félix Tshisekedi n’est qu’une simple marionnette ! Ces paroles firent bondir les proches de Félix Tshisekedi. KAÏS, le cousin du président, et WILSON alias «Le fou», trouvèrent là l’occasion pour faire chanter le richissime homme d’affaires zambien en le menaçant d’expulsion par le chef de l’état !
  • Malheureusement pour eux, à la place des billets verts ils espéraient encaisser, ils reçurent des injonctions venant des responsables de l’ANR, du CNS et du Cabinet du chef de l’état leur intimant l’ordre de stopper immédiatement leurs intimidations sur James NDAMBO ! Les deux lascars ignoraient certainement que le réseau rwandais avait des bras très longs en RDC!             
  1. Sur instructions de James KABAREBE, la Douane congolaise étend le contrat de «surveillance» de la Société AUFS sur toutes les 9 frontières de la RD Congo ! 
L’image contient peut-être : Teddy Mfitu, texte qui dit ’François BEYA’

Après l’opération du rabattement du redressement fiscal, monsieur Yves EKOMBOLO (le frère de Jean-Paul EKOMBOLO) s’est retrouvé, lors d’une mission de service dans le Congo Central, avec monsieur Yan FUMUETU comme chef de la délégation.

Ce dernier est connu d’abord comme «conseiller» et «ami personnel» de Félix Tshisekedi, et ensuite comme Assistant principal du Conseiller spécial François BEYA, le patron du CNS.

Pendant leur séjour dans le Congo Central, la Société AUFS de James NDAMBO a procédé, comme par hasard, à la saisie des équipements militaires frauduleux cachés dans des conteneurs à la douane de Matadi!Cette opération, visiblement bien planifiée, a donné l’occasion à une grande publicité médiatique pour venter la haute qualité du matériel de surveillance de la Société AUFS/AUD de James NDAMBO.

L’image contient peut-être : Gerard Kananga, debout et texte

Et comme on devait s’y attendre, quelques jours après, James Kabarebe passa par Yan FUMUETU pour transmettre à la Haute Hiérarchie la «demande» insistante de son boss, Paul Kagamé, qui souhaitait vivement que le contrat de surveillance de la Société AUFS qui ne concernait jusqu’ici que la frontière Est et une partie du Congo Central, que ce contrat-là s’étende dorénavant sur toutes les 9 frontières de la RDC !

Notez que James Kabarebe, pour transmettre les instructions de Paul Kagamé à Félix Tshisekedi, préfère s’adresser directement à Yan FUMUETU et non à son chef direct qu’est François BEYA ! Cette préférence s’explique par les origines tutsi-rwandaises (cachées) de Yan FUMUETU du côté de sa mère!  

CONCLUSION

Mes chers compatriotes,

Dans tous les pays modernes qui se respectent aujourd’hui dans le monde, la sécurité et la stabilité d’un pays, se mesure dans sa capacité de protéger et d’assurer l’intégrité et l’intangibilité de ses frontières nationales terrestres, maritimes, lacustres et aériennes.

Car la frontière d’un pays ressemble aux portes et aux fenêtres d’une maison. Et une maison qui enferme des trésors, est contraintes à verrouiller toutes les voies d’accès par des systèmes les plus sophistiqués et les plus rassurants !      

Dans tous les pays du monde, les services du contre-espionnage servent de bouclier-protecteur pour protéger les institutions du pays et le peuple contre toutes sortes d’offensives venant de l’extérieure.

Il est bon de signer des contrats pour le développement et la modernité de notre économie, de notre société et de notre communication… Mais nous ne devons pas oublier que nous vivons dans un monde d’intérêt qui a transformé les hommes en bêtes sauvages dont la seule devise est la loi de la jungle : tue pour vivre! Nous devons donc examiner non seulement la capacité financière et technique de nos partenaires, mais aussi leurs véritables motivations cachées ! Ce dernier rôle incombe aux services spécialisés qui doivent enquêter sur tous les partenaires avant de proc »der à la signature des contrats qui toucher aux secteurs stratégiques et névralgiques du pays !

Mais les Services spécialisés, même avec les meilleurs agents du monde, ne peuvent remplir cette mission que dans un pays souverain et non dans un pays occupé comme l’est la République Démocratique du Congo. Mais, comme je viens de vous le monter, nos services spécialisés sont malheureusement infiltrés et contrôlés par les ennemis qui cherchent à mettre à mort la République Démocratique du Congo.

Aujourd’hui, je suis surpris de constater que les congolais sont scandalisés et outrés par le silence de Félix Tshisekedi et des autorités politiques congolaises devant l’entrée des troupes armées rwandaises sur le territoire congolais. Le peuple congolais doit se rappeler que le gouvernement du régime d’occupation à Kinshasa que nous ne cessons de décrier, ce gouvernement-là a signé plusieurs accords autorisant l’armée du Rwanda à entrer, à circuler dans notre territoire et à le contrôler. Et à ce jour, ni Félix Tshisekedi ni Kagamé n’ont jamais résilié ces accords.

Il s’agit notamment de :

  • L’accord du 23 mars 2009 entre la RDC et le CNDP de Nkunda Batware ;
  • L’accord du 12 mai 2012 signé à Rubavu au Rwanda entre le ministre rwandais de la Défense et son homologue congolais ;
  • L’accord du 18 mai 2012 signé à Kigali par Raymond Tshibanda. 

Nous diffusons une partie des résultats de cette enquête pour interpeller la conscience ultime des congolais en leur montrant certaines réalités de l’occupation de la RDC. Le fonctionnement de ce réseau rwandais qui n’est pas le seul, loin s’en faut, nous montrent clairement que la classe politique congolaise n’apportera aucune solution au peuple congolais, tant qu’ils continueront à se vautrer au sein des institutions tenues et contrôlées par les ennemis de la République !

Un riche propriétaire de maison pris en otage par les bandits armés n’est plus maître de sa maison tant que ces envahisseurs ne sont pas neutralisés! Le peuple congolais ne jouira jamais de sa liberté et de ses richesses tant que les envahisseurs et hégémonistes tutsi-rwandais ne seront pas mis hors de notre territoire national !

Ingeta ! 

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