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L’ŒIL DU PATRIOTE – DU 20 Septembre 2021
Sacré meilleur élève de Joseph KABILA Félix TSHISEKEDI, envisage des changements dans son entourage
PARTIE 1 (VIDEO & TEXTE) :

Dans une interview accordée à la Radio Vatican en janvier 2020, Félix Tshisekedi, comme son « mentor » Joseph Kabila en son temps, faisait part de ce qui semblait être l’une de ses préoccupations majeures, à savoir, le choix de ses collaborateurs . « Le grand défi » disait-il, « d’un dirigeant politique, d’un leader c’est d’être bien entouré (…), c’est de s’entourer d’une équipe qui peut l’accompagner dans la réalisation de ses objectifs ». Plus d’une année après cette déclaration, le constat d’échec est unanime à son sujet. Des membres de la communauté internationale, en passant par la population congolaise, le fils d’Etienne Tshisekedi croule sous les critiques : amateurisme, médiocrité, cupidité, tribalisme, collaborationnisme, mauvaise gouvernance, etc … Les jours passent et se ressemblent, les frasques et les scandales s’enchainent inlassablement.
Malheureusement, le premier a en être l’auteur c’est d’abord lui-même Félix Tshisekedi. Souvenez-vous de l’une de ses prestations face à la presse internationale lorsqu’il défendait le principe des « retro commissions » , cette autre forme de corruption instituée en RDC. Et que dire de son « amnésie » au sujet du montant de son salaire mensuel , lorsqu’il est interrogé à ce sujet le 1er Juillet 2021 dans une interview accordée à la RTNC et la Radio Top Congo FM ! Est-ce parce que les détournements d’argent auxquels il se livre chaque mois sont trop important pour qu’il arrive à les chiffrer ?
Que dire encore de son action de corruption, à peine déguisée à l’intention de nos « parlementaires », à qui il vient d’offrir des jeeps en plus de leurs milliers de dollars de salaires mensuels. Tout ceci en échange de leur union sacrée contre les intérêts du peuple congolais et sous le couvert de l’étiquette cynique et mensonger du slogan « le peuple d’abord » !

Aucune institution n’est épargnée par cette médiocrité ambiante : bagarres , gabegies et corruption au parlement , clientélisme , népotisme , dépassements budgétaires, et détournements de fonds à la présidence, infiltration, au sein de l’armée et de la police etc… Son parti politique n’est pas non plus en reste . Des hauts cadres et non des moindres se livrent régulièrement à des écarts de langage et autres mauvais comportements. Des menaces proférés par leur Secrétaire général Augustin Kabuya à l’encontre de ceux qui s’opposent à Félix Tshisekedi , aux débordements récurrent de Jean-Marc Kabund (1er Vice-Président de l’assemblée nationale) dont l’un des plaisirs actuellement est d’envoyer systématiquement ses tontons macoutes crever les pneus des voitures de quelques malheureux kinois qui ont le malheur de croiser son chemin. Voilà donc la conception de l’État de Droit vu par l’UDPS : Pitoyable !
En à peine quelques mois, Félix Tshisekedi et son parti politique se sont transformés en véritable honte nationale pour les congolais. Chaque fois que l’on croit avoir atteint le fond, Tshilombo et son équipe creusent encore … L’un des derniers rapports de l’ONG Human Rights Watch dont nous reprenons des extraits ci-dessous enfonce littéralement le clou au sujet des violations des libertés fondamentales des congolais sous ce régime qui ne diffère pas du précédent.
Mais comme la décence , le patriotisme et le bons sens semblent les avoir définitivement quitté, Félix Tshisekedi et ses partisans ne rêvent que de s’accrocher indéfiniment au strapontin du « pouvoir » qu’ils ont obtenu de Kigali via « Kabila » et au détriment du peuple congolais . Alors que la majorité de ceux-ci en ont plus qu’assez de ce régime qui confirme chaque jour qu’il représente un véritable danger et non une solution pour la RDC, Félix Tshilombo et les siens élaborent plus que jamais des stratagèmes pour se maintenir au pouvoir coûte que coûte .
Après avoir utilisé la fraude et la trahison pour accéder à la présidence et se sachant rejeté des congolais , il espère à tout prix convaincre les pays membres de la communauté internationale de le maintenir sur son siège en 2023. Mais , ses récents déplacements en Europe avec sa tournée en Allemagne , en Italie et son passage en Belgique lui ont confirmé que ses promesses ne suffisent plus .
Un remaniement avant la fin de l’année 2021 pour « séduire » la Communauté internationale…

La rédaction de L’ŒIL DU PATRIOTE a ainsi appris de plusieurs sources que Félix Tshisekedi se sent abandonné par ses « alliés » occidentaux . La plupart de ceux-ci lui reprochent d’avoir institué le tribalisme comme mode de gouvernance et de privilégier ses proches alors que plusieurs d’entre eux se livrent à un pillage sans vergogne des ressources de la RDC et en toute impunité. Son frère , Christian Tshisekedi suscite particulièrement la désapprobation . Son implication croissante dans le contrôle du secteur minier comme s’il était déterminé à marcher sur les pas de « Joseph Kabila » et son clan, inquiète et multiplie les mécontentements.
Félix Tshisekedi s’est également vu reprocher d’être complice des fuites de John Numbi et Kalev Mutond, et de protéger « Joseph Kabila » qu’il tarde à arrêter alors que ce dernier est notamment considéré comme l’un des commanditaires des tueries à l’est de la RDC. Plutôt que de le traduire en justice Félix Tshisekedi accepte que l’État congolais lui verse près de 700 000 dollars de salaire mensuel , lui dont la fortune cachée dans les paradis fiscaux se chiffre en milliards de dollars. Pris au piège de son deal avec « Kabila » , Félix Tshisekedi multiplie les promesses pour rassurer la communauté internationale . Mais la plupart de ses interlocuteurs n’y croient plus. C’est donc en désespoir de cause qu’on le voit tenter de donner des signaux de sa bonne volonté en particulier aux États-Unis , en s’en prenant plus spécifiquement à quelques sociétés chinoises impliquées dans le pillage de la RDC alors qu’elles ne sont bien évidemment pas les seules .
C’est dans ce contexte de plus en plus morose pour Tshilombo, que nos sources nous ont informé qu’il projette un remaniement (sauf imprévus) d’ici la fin de l’année 2021. Félix Tshisekedi veut essayer de réduire le nombre des membres de sa tribu (luba) dans son entourage (y compris dans la direction de son parti politique l’UDPS). Il espère aussi pouvoir écarter plusieurs personnes considérées comme des proches de « Kabila », aussi bien au sein de son bureau que dans les entreprises publiques. Les services spécialisés, notamment, l’ANR, la Demiap et la tête de la police sont également dans son viseur. D’après nos sources Justin Inzun jugé trop proche de « Joseph Kabila » et de Kalev Mutond est déjà sur un siège éjectable.
Quelque peu traumatisé par les événements du Mali et de la Guinée , Félix Tshisekedi se méfie aussi de certains membres de sa garde personnelle qu’ils soupçonnent d’être des « infiltrés » qui chercheraient à s’en prendre à sa personne. Il a ainsi confié la mission aux généraux Alongaboni et Ngbiato de mener une enquête pour détecter les éléments considérés comme suspects. Mais, nos sources nous indiquent qu’il a déjà levé l’option de se débarrasser de tous ceux ayant été au service de « Joseph Kabila » . Il ne souhaite garder autour de lui que des ressortissants des Tribus : Luba, Ngala , du Bas-Congo et du Bandundu, proche de Mboso le Président de l’Assemblée Nationale.
Concernant ses choix parmi les ressortissants ngala , il compte s’appuyer sur les conseils de Jean-Pierre Bemba dont il s’est particulièrement rapproché au grand dam de « Joseph Kabila » . Enfin , il prévoit de ne garder au camp Tshatshi que des éléments choisis pour sa garde. Les autres devront quitter les lieux.
Paris, le 20 Septembre 2021
Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE

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Un rapport de Human Right Watch enfonce le clou :
Félix Tshisekedi meilleur élève de « Joseph Kabila »
EXTRAITS :
« Les autorités congolaises ont réprimé des manifestants pacifiques, des journalistes et des personnalités politiques, tout en utilisant les mesures de l’état d’urgence imposé de façon temporaire en raison de la pandémie de Covid-19 comme prétexte pour endiguer les mouvements de contestation.
(…) Des dizaines de personnes ayant critiqué les politiques gouvernementales, y compris sur les réseaux sociaux, ont fait l’objet d’intimidation et de menaces, de passages à tabac, d’arrestations et, dans certains cas, de poursuites judiciaires. Particulièrement ciblés par les autorités de tout le pays, les journalistes ont été menacés et harcelés ; et certains programmes ou médias ont été fermés sur instruction des autorités. Entre mars et juillet, alors que les grands rassemblements étaient interdits en raison de l’état d’urgence instauré pour stopper la propagation du Covid-19, les forces de sécurité ont recouru à la force excessive et souvent meurtrière pour disperser les manifestations.(…)
(…)Les défenseurs des droits humains ont fait l’objet de menaces, d’intimidation, d’arrestations arbitraires et de détention de la part des services de l’État et de groupes armés. Le Dr Denis Mukwege, lauréat du Prix Nobel de la paix, a reçu des menaces de mort pour son plaidoyer en faveur de la justice pour les crimes graves. »

PARTIE 2 :
Rencontre avec James Kabarebe :
Jusqu’où ira Martin Fayulu ?
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